Création de la notice : René Bianco

Bi 0623

Le Coq rouge

revue de littérature [puis] revue littéraire


Parution : 1895-1897





Notice sur la Digithèque des bibliothèques de l’ULB (lu le 29 juil. 2022) :

Résumé
Revue littéraire fondée en mai 1895 et publiée jusqu’en 1897, Le Coq rouge est l’œuvre d’un certain nombre de prosateurs dissidents de La Jeune Belgique, emmenés par Georges Eekhoud. Ils souhaitaient réagir à la définition trop restrictive de l’art pour l’art que défendaient à ce moment Albert Giraud et Ywan Gilkin. Participant à la Section d’art de la Maison du Peuple, d’orientation socialiste ou anarchiste, ils défendaient sinon l’art social, au moins l’art pour tous, mais également le vers libre, le théâtre symboliste ainsi qu’un certain réalisme dans le domaine romanesque.

Plusieurs auteurs français majeurs y ont apporté leur collaboration (André Gide, Remy de Gourmont, etc.)

En septembre 1896, Le Coq rouge fusionne brièvement avec L’Art jeune avant de disparaître en mars de l’année suivante (voir : Georges-Henri Dumont, « Quand le Coq rouge plantait ses ergots sur la Jeune Belgique (1895-1897) », Bruxelles, Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique, 1991.

Parutions :

  • 1re année
  • nº 1 (1895, mai)
  • nº 2 (1895, juin)
  • nº 3 (1895, juil.)
  • nº 4 (1895, aout)
  • nº 5 (1895, sept.)
  • nº 6 (1895, oct.)
  • nº 7 (1895, nov.)
  • nº 8-9 (1895, déc.-1896, janv.)
  • nº 10 (1896, févr.)
  • nº 11-12 (1896, mars-avr.)
  • tome II = 2e année
  • nº 1 (1896, mai)
  • nº 2 (1896, juin)
  • nº 3 (1896, juil.)
  • nº 4 (1896, aout)
  • nº 5 (1896, sept.)
  • nº 6 (1896, oct.)
  • nº 7 (1896, nov.)
  • nº 8-9 (1896, déc.-1897, janv.)
  • nº 10 (1897, févr.)
  • nº 11 (1897, mars)