Québec - Montréal
Cause commune
Sous-titre : journal de la Fédération des communistes libertaires du Nord-Est (NEFAC) (nº 1 à 10) [puis] journal anarchiste (nº 11 à 24)
sauf pour le nº 13 « Spécial élections » (hiver 2007) : une collaboration spéciale de la NEFAC et du RAME
Dans l’entête de titre, l’adresse « www.nefac.net» devient « www.cause-commune.net» à partir du nº 23 (hiver 2009)
2 à 4 pages.
Articles non signés
parfois indiqué « gratuit »
Tirage : 3000 ex.
Adresses :
En 2006, « Abonnements de soutien, 20 $ pour un an. Faire le chèque à l’ordre du “Groupe Émile-Henry”. Collectif anarchiste La Nuit, a/s E-H, CP 55051, 138 St-Vallier O., Québec G1K 1J0 »
www.cause-commune.net
et
http://ucl-saguenay.blogspot.com/
Présentation du journal (lu le 1er janvier 2022) :
PrésentationLancé en mars 2004, le journal Cause Commune est aujourd’hui le porte-voix de l’Union Communiste Libertaire. Gratuit et diffusé à 4 000 exemplaires dans une dizaine de villes de la province, c’est un phénomène unique dans l’histoire de la presse anarchiste québécoise. Cause Commune est un porte-voix libertaire dans les luttes sociales et les quartiers. À cheval entre le tract et l’organe de presse plus élaboré, c’est un outil souple, peu coûteux, adapté aux besoins d’aujourd’hui. Il permet à des collectifs bien implantés, comme à des militants et militantes isolé-e-s, de faire un travail d’information et de sensibilisation à grande échelle. Cause Commune se veut un journal révolutionnaire accessible. Nous le construisons autour de chroniques régulières telles que « l’Anarchie de A à Z », en traitant de toutes sortes de sujets de façon succincte et accessible. Les articles évitent autant que possible le jargon militant et la propagande pure et dure. L’idée est de pouvoir le diffuser aussi bien à l’université que dans une manifestation d’un mouvement communautaire.FonctionnementLes grandes lignes du contenu du journal sont déterminées lors de réunions provinciales des militants et militantes de l’UCL. Tout le monde peut soumettre un article ou un sujet : il suffit d’écrire au comité journal avec une description du texte proposé. Un comité de rédaction est mandaté pour sélectionner, corriger et éditer les articles, voire en produire au besoin, et créer la mise en page. La distribution est coordonnée par les collectifs locaux de l’UCL, en lien avec des liaisons dans plusieurs villes où il n’y a pas de collectif. La majeure partie du tirage est distribuée en personne (manifestations, conférences, spectacles, etc.) ou en en laissant des copies dans de nombreux lieux publics (cafés, librairies, bibliothèques, buanderies, etc.). Si vous trouvez le contenu du journal intéressant et que vous aimeriez le distribuer dans votre milieu, contactez le collectif local le plus près de chez vous ! Et comment l’UCL finance tout ça ? Non, il n’y a pas de fonds secret ! Ce sont les membres de l’organisation qui payent l’essentiel des frais — un peu plus de 500$ par numéro — avec leurs cotisations. Le reste vient de contributions volontaires et d’activités de financement.